
Le Comité International Olympique (CIO) a communiqué en début de semaine la radiation de Vitaly Mutko vice-Premier ministre russe et en charge de l’organisation du Mondial 2018.
Dans la foulée, la FIFA dit avoir “pris note” de la décision du CIO mais affirme qu’elle “n’aura aucun impact” quant à la Coupe du Monde. L’instance affirme qu’elle “continue de travailler” pour que celle-ci “se déroule dans les meilleures conditions”.
Le cas est plutôt embarrassant avec l’envie de ne pas froisser la Russie en le radiant également du monde du football, même si Mutko a été reconnu responsable de dopage organisé d’athlètes russes.
Le Russe avait néanmoins été déclaré “inéligible” par le Conseil de la FIFA, où il siégeait depuis 2009, car l’institution a vu “des risques d’ingérence et de possibles conflits d’intérêts” après sa nomination en tant que vice-Premier ministre.
Mais pour l’éthique, une nouvelle fois à la FIFA, on repassera.