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Xabi Alonso : “Souvent, les états émotionnels transcendent le niveau footballistique”

par Romain Laplanche
31 janvier 2023
dans A la une, Bundesliga, International
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Xabi Alonso : “Souvent, les états émotionnels transcendent le niveau footballistique”

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Pendant des années, il a été vu dans toute l’Espagne portant des costumes sur des panneaux d’affichage pour l’industrie textile. Mais Xabi Alonso (Tolosa, Gipuzkoa ; 41 ans), fils cadet de l’ancien milieu de terrain de l’équipe nationale Periko Alonso, doit être né en survêtement. C’est ainsi qu’il s’est présenté pour cette interview, tenue dans une loge de la BayArena, le stade du Bayer Leverkusen, l’équipe qu’il dirige depuis 100 jours sous l’œil attentif des grands clubs d’Europe, curieux de l’évolution d’un entraîneur auréolé de résultats sans précédent : champion du monde, double champion d’Europe, double vainqueur de la Ligue des champions, légende de la Real Sociedad, de Liverpool, du Real Madrid et du Bayern Munich.

 

En septembre 2014, durant un Cologne-Bayern Munich, vous avez dépassé les 200 touches de balle et battu le record de passes en Bundesliga. Vous aviez déclaré après ce match que vous aviez l’habitude de les compter mais que ce jour-là vous aviez été surpris d’avoir dépassé la barre des 200. Les joueurs en action perdent-ils un peu de leur conscience à l’instar des ballerines ou des peintres ? 

XA : On a vu lors des grands matchs, lors de la Coupe du monde, en Ligue des champions, que des choses inattendues peuvent se produire pour l’équipe qui domine la rencontre. Soudainement, quelque chose se passe, elle entre en état de choc et se montre incapable de renverser la situation. On travaille la tactique, la technique, le physique, mais le mental… Comment fait-on ? Je ne sais pas, mais cet aspect pourrait être la prochaine étape (décisive). C’est très difficile. Parce qu’il y a des moments – tant sur le terrain que sur la touche – qui cherchent à éclipser ce qu’il se passe en match, et le match t’échappe. Bien que tu sois une très bonne équipe, il y a des inerties difficiles à contrôler. Souvent, les états émotionnels transcendent le niveau footballistique.

Leverkusen était une équipe en crise, au beau milieu d’une saison agitée, en marge d’un championnat qui n’est sans doute pas celui que vous connaissez le mieux. Pourquoi avoir pris le risque de venir dans ce club pour commencer votre début de carrière d’entraîneur ?

XA : Je voulais prendre le temps adéquat pour chaque étape. J’ai commencé avec les infantiles (U19) du Real Madrid et ça m’a servi pour me dire : “Ça pourrait me plaire”. L’étape suivante a été de revenir à la maison, à la Real [Sociedad], dans une structure quasi-professionnelle sans le besoin impérieux de résultat et avec tous les moyens pour travailler avec liberté et tranquillité pour me connaître et voir ce qui me manquait ou non. Parce que tu dois te connaître : à quel point es-tu authentique lorsque tu incarnes ce que tu ressens. Ma décision de venir ici est aussi très liée à ma fin de carrière au Bayern. Les clubs allemands sont très peu hésitants à l’idée de donner la chance aux jeunes. Je l’ai vu avec Nagelsmann à Hoffenheim, à Gladbach, à Dortmund aussi… Je me voyais. Ça me correspondait.

Très peu de fils de grands joueurs ont fini par devenir de grands joueurs. Vous l’avez été. Et vous ne vous arrêtez pas là, maintenant vous voulez vous consacrer à un métier épuisant. Ça ne vous alarme pas de voir comment votre père a souffert de cette transition “jouer-entraîner” ? Qu’est-ce qu’il y a dans votre tête pour vous mettre dans ce pétrin ?

XA : J’aime trop le football pour m’en éloigner. Le fait de ne pas pouvoir jouer fait que ce travail me fait sortir du lit à 2 heures du matin pour me préparer parce que je ne reste pas en place à force de réfléchir. Tant que tu n’as pas réglé le moindre détail, tu n’es pas tranquille. Quand l’insecte suce ton sang, il ne part plus. Je ne serai pas le seul entraîneur dans ce cas-là.

Vous avez récupéré Florian Wirtz, un des grands espoirs du football allemand. Il fait partie de quelle classe de joueur ? 

XA : Il y a des joueurs “beaux” et des joueurs “bons”. Le joueur “beau”, c’est celui qui fait de belles choses, mais ça, ce n’est pas suffisant. Pourquoi Messi est bon ? Parce qu’il sait faire la passe simple, il sait la donner à celui qui est dans la meilleure position. Ça, c’est être bon : ne pas toujours vouloir faire le geste le plus brillant. C’est ce que Florian fait. C’est pour ça qu’il est si bon. Il a été blessé et a besoin de retrouver le rythme de la compétition. Le rock and roll commence le 22 [janvier] face au Borussia Mönchengladbach (victoire 3-2 du Bayer Leverkusen, ndlr). En Bundesliga, il faut beaucoup travailler sur chaque match. De la 1ère à la 90e minute, les équipes sont un rouleau compresseur.

Dans quel sens ? 

XA : Le rythme est constamment très élevé. Si tu ne maîtrises pas le jeu de transition, tu souffres. En Espagne, ça joue dans les zones plus médianes. En Angleterre, les espaces dépendent de la volonté adverse de les réduire et ici, ça joue dans de grands espaces, ça va d’une surface à l’autre. C’est difficile de dominer tant que ça l’adversaire parce que beaucoup d’équipes vont vers l’avant. Ici, les entraîneurs sont très courageux pour dire aux joueurs que ça vaut le coup. Vous voyez peu d’équipes très défensives. Elles vont venir te chercher, te presser haut, créer beaucoup de situations de un contre un. Plus qu’en Premier League. En Premier League, il y a des équipes qui jouent avec un bloc bas et qui le font très bien. En Liga, elles ont un autre temps. Le profil du joueur est différent.

Il y a des entraîneurs qui témoignent qu’ils ont besoin de laisser leur empreinte. Cela ne semble pas vous inquiéter. Mettre votre égo de côté est-il spontané ou calculé ? 

XA : Le fait d’être issu de la Real Sociedad, un peu à l’ombre, m’a permis de me concentrer différemment sur ma relation avec les joueurs. “Turrientes, comment je peux te faire progresser ? Pacheco, Karrikaburu, Zubimendi… Comment je peux me montrer généreux envers toi ?” Le fait d’avoir été à Zubieta (la cantera) m’a aidé à me dire : “Xabi, ce sujet ne dépend pas de moi mais d’eux”.

Parmi vos anciens entraîneurs, à qui devez-vous cette façon de voir votre travail ? Ancelotti, Mourinho, Guardiola, Del Bosque… ? 

XA : À mon père. Ce n’est pas que je l’ai étudié, je l’ai vu depuis le berceau. Il avait une éthique de travail de groupe, quelque chose qui appartient au caractère de la Real. La priorité est la générosité. Comme milieu de terrain, tu joues pour l’équipe, pas pour ton rayonnement personnel. En tant que joueur, qu’est-ce que je voulais ? De meilleurs joueurs que moi autour de moi et les aider pour faire en sorte qu’ils le soient. Parce que si j’étais le meilleur, donc le meneur de jeu, ça signifiait que le relayeur et l’ailier n’étaient pas si bons. Je voulais leur donner de bons ballons pour qu’ils fassent ce que je n’étais pas capable de faire. Aujourd’hui, si je peux faire en sorte de rendre les joueurs meilleurs, ça fera de moi un meilleur entraîneur. Les subtilités techniques et tactiques viennent après. Venir ici pour être un sergent avec une main de fer ? Non ! J’aime la discipline et les standards de base mais je ne veux pas être une ordure. Vous devez jouer différentes musiques.

Vous étiez un maître dans le démarquage, qui est la clé de tout. Quels sont les repères pour ne pas faire de mouvements superficiels dans un football qui demande sans cesse de savoir faire plus de choses ? 

XA : Tu dois entrer sur la pelouse en voyant le terrain comme une carte. Tu dois contrôler les zones et savoir combien de joueurs il y a sur ta gauche et sur ta droite. S’il y en a 7 d’un côté, il y en a 3 de l’autre, et le gardien. Il doit y avoir une supériorité numérique. S’il n’y a qu’un avant-centre, je dois aller vers l’avant. S’il y en a deux, je dois aider mes centraux. C’est un décompte permanent pour savoir comment faire la prochaine passe. Je ne vais pas être celui qui va faire la différence dans le dernier tiers adverse mais je serai celui qui te permettra d’y arriver dans de bonnes conditions.

Que signifie la ligne du ballon pour le milieu axial ? 

XA : Voir le terrain devant soi avec un angle à 180 degrés. Voir les relayeurs et les ailiers devant soi. Si tu as le profil d’Özil et que tu viens derrière le ballon, on n’est pas efficace. Demande-le devant. Tu dois compter. Combien sommes-nous derrière et devant le ballon ? Ça dépend de l’adversaire. Combien veux-tu de joueurs derrière le ballon et combien au niveau de la ligne défensive ? Où veux-tu voir évoluer la ligne défensive adverse ? Tu veux la voir défendre son but ou défendre vers le tiens ? C’est là que vous voyez ce que vous attendez de votre équipe.

Qu’est-ce qui différencie les milieux de terrain extraordinaires ? 

XA : Les meilleurs semblent avoir toujours cette seconde d’avance avec le ballon, avec un sens de l’anticipation sur leur position et leur contrôle pour ce qui suit. Ceux qui ont toujours le temps pour rendre un meilleur ballon sont les meilleurs parce qu’ils donnent leur ballon avec un message : “Je te le donne pour ce qui suit”, “je te le donne sur ce pied pour que tu le contrôles (de telle façon)…”

Des joueurs dotés d’une intelligence supérieure pour comprendre le jeu, comme vous ou Guardiola, quand ils se mettent à entraîner, ne prennent-ils pas le risque de penser que transmettre des idées revient à les exécuter ? 

XA : A Sansé (la réserve, promue en 2e division sous sa direction, ndlr), j’allais parfois sur le terrain. Je jouais avec eux pour leur dire : “Ce que je vois hors du terrain, voilà comment je veux le voir transposé sur le terrain ?” Vous vous rendez compte que le voir est très facile mais le ressentir… Tu peux penser maîtriser une recette mais l’exécuter parfaitement, c’est autre chose. J’aimais tester cette sensation qu’il y a des choses plus théoriques que pratiques. Les choses qu’on a en tête en tant qu’entraîneurs ne peuvent pas toujours se reproduire sur le terrain. Vous devez assumer, de façon naturelle, que nous ne sommes pas toujours là pour ça.

Lors de la Coupe du monde, après les éliminations de l’Espagne et de l’Allemagne qui sont les représentants du jeu de possession, la presse répétait que faire plus de 1000 passes en match était un symptôme du fait que quelque chose n’allait pas. Vous qui avez battu le record de passes en Bundesliga, pensez-vous qu’il faut faire une passe courte pour être déstabilisant ? 

XA : Mais comment éviter les passes horizontales et les passes courtes ? Il y en aura toujours et il faut qu’il y en ait. Comment joue l’Espagne ? Eh bien à ça ! L’Espagne ne pouvait pas jouer la transition ou seulement par du jeu direct. Bien sûr qu’il faut du jeu court. Pour toute équipe, il y a des mécanismes. A la relance, l’Argentine jouait aussi avec beaucoup de passes horizontales et a fini le Mondial en étant une équipe plus verticale. L’Espagne doit avoir ça en elle. Arsenal, qui joue très bien en ce moment, joue avec beaucoup de jeu court avant de changer de rythme. Mais dans la phase de relance, elle sait très bien attirer l’adversaire par son jeu court. Il doit en être ainsi.

“Le problème n’est pas le jeu court mais jouer court en oubliant d’attaquer l’espace”

Le jeu de possession n’est donc pas passé de mode ? 

XA : Et que dit-on des équipes qui ont beaucoup de possession ? Qu’elles ne sont ni modernes ni efficaces ? Le jeu de possession sans changement de rythme et sans profondeur, c’est difficile. Si derrière le ballon, tu as trop de joueurs, c’est compliqué. Mais si tu as un jeu de possession avec lequel tu attires l’adversaire pour ensuite lui faire mal et que tu es bien positionné à la perte du ballon pour que ça te donne la possibilité d’aller vers l’avant… Ça ne sera jamais démodé. Plus on contrôle le jeu, plus ça me plait. Mais à Leverkusen, j’apprends aussi à maîtriser les espaces qui ne sont pas si hauts pour être en accord avec les qualités de mes joueurs qui sont très bons en transition. Ça me fait comprendre d’autres registres que j’avais expérimentés jusque-là qu’au Real Madrid en tant que joueur. À 50 mètres de nos buts, on était serein.

Pendant la Coupe du monde, on a vu des équipes regroupées battre des équipes dominantes. Vous avez été un des meilleurs milieux défensifs de votre époque. Pour un joueur de votre poste, quel type de passe faut-il faire pour faire mal à des équipes regroupées devant leur but ? La passe courte dans le dos ou celle du changement d’aile ?

XA : Celle qui va chercher dans le dos. Mais après, cette passe doit être suivie d’une autre passe qui aille dans le dos de la défense. Car si celui qui reçoit la passe dans le dos de la ligne du milieu adverse est l’attaquant, qui ira dans le dos de la défense ? Il faut attaquer cette ligne défensive avec l’attaquant, le relayeur, l’ailier ou qui que ce soit. Quoi qu’il arrive, il faut l’attaquer. Ou être prêt en cas de perte de balle. Tu peux préparer l’académique ou le chaotique. Souvent, face à des défenses bien organisées, c’est à partir de ta perte de balle quand ils se désorganisent que tu vas te créer des occasions.

En général, la passe courte met plus d’ordre que la passe longue ? 

XA : Oui, mais il faut prendre des risques. Le ballon doit passer par les ailes et l’intérieur du terrain et de gauche à droite. Si c’est seulement du jeu horizontal… Quand ils défendent avec deux lignes de quatre, ils bougent sur la largeur, ne se fatiguent pas, mais si tu fais des passes sur les ailes et à l’intérieur du jeu et que tu les fais bouger d’avant en arrière, ça génère des espaces. Le problème n’est pas le jeu court mais jouer court en oubliant d’attaquer l’espace. Le problème c’est : comment créer l’espace pour que le ballon aille dans ce dernier ? Les faux appels deviennent de plus en plus importants. Ce sont ces courses que tu fais en sachant très bien que tu n’auras probablement pas le ballon mais qui servent à créer des espaces. Faire la différence seulement par le jeu de passe, sans les mouvements sans ballon, c’est très difficile.

La Coupe du monde est un laboratoire qui nous montre où va le football ?

XA : Je ne pense pas. Lors du Mondial, les émotions, la vie en commun et l’esprit de groupe pèsent davantage. Il y a des ingrédients différents. Quand tu vois les championnats et la Ligue des champions, tu vois un petit mieux dans quelle direction va le football.

Que voit-on en Ligue des champions ? 

XA : Qu’à chaque fois, les équipes sont meilleures : plus complètes, plus dynamiques, plus flexibles tactiquement, plus agressives avec des joueurs aussi plus complets.

Vos favoris ?

XA : J’aime voir jouer Manchester City et le Bayern. Le PSG si toutes les pièces du puzzle s’assemblent… Et il faut toujours compter sur le Real Madrid. Parce que Carlo Ancelotti a une intelligence émotionnelle qui fait que c’est Carlo et qu’on va tout donner pour lui. Il a cette aura. On parle beaucoup de football mais l’énergie qui émane d’un vestiaire avec l’intelligence émotionnelle, en dehors du champ technico-tactique, je ne sais pas quelle part cela représente (dans le résultat). 50% ?

 

 

 

Tags : AncelottiBayer leverkusenBundesligaCoupe du Mondecoupe du monde 2022émotionsentraîneurévolution du jeufaux appelsjeu de possessionSanséxabi alonsoZubieta
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