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Le pape François s’est fendu d’une déclaration très commentée dans le journal argentin La Voz Del Pueblo en ce milieu de semaine.
Deux semaines après le Boca-River mouvementé, le souverain pontife attaque les barras bravas : « Ce sont des sauvageries propres des personnes dont la passion prend le dessus ainsi que l’arrogance et l’insociabilité ».
« C’est lamentable qu’il existe des groupes de personnes violentes, en Argentine comme dans d’autres pays », affirme-t-il. Le pape prend pour référence l’Italie, dont les médias locaux n’ont pas hésité à traduire injustement « barra » par « ultra » même si certains virages sont aussi affectés par la soif de business.
« En Italie, il y a beaucoup de problèmes avec ces gens-là qui ne luttent pas nécessairement pour leur club. La majorité sont des mercenaires ».
Voilà qui est dit.