La Ligue anglaise de football (EFL) en charge des clubs de Championship (D2) à la League Two (D4) veut diminuer les risques de gestions calamiteuses.
Dernier cas symbolique en date Leyton Orient, géré calamiteusement par son ex-propriétaire italien Francesco Becchetti, aujourd’hui non-inscrit en League pour la première fois en 112 ans d’histoire. Significatives aussi les graves problèmes financiers rencontrés par Coventry City, Nottingham Forest, Charlton Athletic, Blackpool et Blackburn Rovers
Shaun Harvey, chef exécutif de l’EFL, a confirmé jeudi que les conditions sur lesquelles des individus sont jugés aptes à prendre le contrôle d’une équipe sont en cours de révision. Un rapport doit être remis aux 72 clubs en septembre.
Ce test de propriété de l’EFL ne tient pas compte des aléas d’un club après son achat : y compris les facteurs tels un personnel impayé ou des primes des joueurs non versées. Mais c’est déjà un bon début.